Rentrée professionnelle oblige, les conseils quant à la cohabitation distanciel/présentiel, le lien social et l’engagement des salariés, l'impacts sur la performance économique de l’entreprise, etc. pleuvent. Si parfois il s’agit de poser un sparadrap sur une jambe de bois, la majorité sont pertinents et font écho aux 6 familles de facteurs de RPS.
Or, dans un contexte d'incertitude, de changement et de transformation, 2 variables de taille limitent la portée de ces bons conseils :
⚠️l’enjeu lié à son ampleur,
⚠️l’inconnu qu’il induit.
Pour le dire concrètement : l’entreprise se doit d’être plus efficiente encore, sur fond de visibilité réduite. Et en conséquence, ses acteurs doivent s'adapter plus encore, se réinventer plus encore pour faire progresser l’organisation, et surtout, inscrire cette progression dans la durée... Comme un marathonien qui, pour maintenir un chrono quand il fait face à des vents forts sous une pluie battante, devrait redoubler d'effort sans connaitre ni ses ressources, ni ses limites.
Cette réalité ainsi posée, il devient évident qu’une approche par saupoudrage de bonnes pratiques ne peut constituer une réponse fiable à l'engagement social, aux bien-être des salariés, et aux enjeux économiques de l’entreprise.
C’est tout l’enjeu de la Performance éthique®, née de mon parcours sportif (en tant qu’athlète et entraineur) et professionnel, de l’analogie entre le monde sportif et l’entreprise, de leur volonté commune d’atteindre toujours de nouveaux objectifs.
Développer une Performance éthique® dans l’entreprise implique une approche globale et en profondeur sur chacun des 3 piliers interdépendants qui la portent :
1. L'individu : lui permettre d'expérimenter qui il est, individuellement et dans la relation ;
2. Le collectif : lui offrir des clés de lecture de son fonctionnement ;
3. Les connaissances et les compétences.
Agir sur tout ou partie de ces 3 piliers de façon globale et méthodologique, va engendrer :
○ Leadership de soi : agir en responsabilité dans le respect de soi et de l'autre ;
○ Fluidité relationnelle : optimiser la relation au sein du collectif et en corollaire son fonctionnement au service de l'organisation
○ Mise en action créative : incarner selon les circonstances un comportement adapté pour gagner en efficience individuelle et collective.
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